Alors que Donovan et Ryley acquiesce à l'ordre de la lieutenant Dosantos. il remonte le convois sans trop de problème les morts ne sont pas encore en train de revenir et il laisse les autre encore en vie être potentiellement sauver par les deux médecins.
Donovan indique soudain a Ryley le fourgon blindé. Les deux garde s'avance d'un pas rapide vers leur cible et commence le nettoyage. Tractant et balançant les Zs sur le bord de route les deux gardiens en vienne a éliminé deux soldat sur le points de revenir d'entre les mort. Il font cependant signe au deux agents médicaux pour indiquer la présence d'un homme encore en vie. Mais sans savoir si celui ci n'est pas condamné [Note MJ = il l'est].
Donovan sors la clé de l’habitacle du fourgon alors que Ryley surveille derrière lui. En ouvrant la surprise est de taille. Un homme, visiblement un officier si on en jugeait par les galons qu'il arborait, Et celui-ci semblait vivant. Prestement Donovan Récupère son arme et le met en joue.L'uniforme n'étant ni celui de US-Army, ni de la garde, Ryley fait de même le mettant en joue a son tour.
Donovan - Sortez de là. Déclinez votre identité vite.
Ryley se retourne vers la zone ou se trouve la lieutenante Dosantos. et l'appelle.
Ryley - Lieutenant. On a un survivant ici.
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Ceci est l'introduction de Sansom dans votre partie de l'Event.
Samson répond maintenant puis on reprends le tour comme avant soit :
John Murphy Charlie Murphy Sarah J. Sullivan Sansom J. Clemens Alicia Dosantos Keith Andrew (a son retour sinon je m'en occupe)
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Sujet: Re: [TERMINE] [Event 2] Z's catch seamen - 26 octobre (Groupe 2) Sam 18 Aoû - 18:04
Quel massacre! Je me redresse après avoir terminé d'observer les impacts de balles ensanglantés dans la carlingue du véhicule militaire contre lequel est appuyé mon soldat inconnu décapité et soupire. Les autres sont déjà en train de repartir quand j'entends des voix s'élever, je reconnais bien évidemment la voix de la lieutenante mais aussi celle du vieux vétéran timbré d'Essex qui pense encore vivre dans les 70's. Un second soupire sort de mon nez mais pas à cause de l'odeur franchement insoutenable de cadavre mais parce que je n'avais pas besoin d'un second traumatisé de guerre à surveiller. Ça peut le rendre sympathique, son air autoritaire et toutes ces conneries de type qui s'est fait démolir un peu trop au nom de sa patrie et n'est jamais vraiment revenu de la guerre.
Je garde donc mes distances avec le cancéreux et l'anti-narco et regrette un peu pour le coup de ne pas avoir emmené Lucrèce avec moi pour avoir un peu de conversation. Je ne suis même pas sûr qu'elle tienne l'infirmerie en ce moment en plus de ça... Mais ce n'est pas mon travail de me soucier de cela maintenant et je continue donc la tache pour laquelle je suis là, tentant de repérer un survivant qui leur aurait échappé en tâtant autant de pouls que possible sur les jugulaires des soldats sans trouver de flux sanguin actuellement actif jusqu'à ce que j'en perçoive un. Un homme aux cheveux bruns qui tourne finalement la tête pour me laisser voir ses yeux jaunes injectés de sang avant de tendre les bras vers moi.
Je recule d'un pas vif malgré ma masse et lève mon pied-de-biche comme un joueur de golf avisé avant de le swinger dans la tête, enfonçant une partie de son visage mais pas suffisamment. La force est cependant forte et je l'envoie malgré tout sur une jeep et ai le temps d'armer à nouveau avant qu'il ne revienne à portée pour recevoir le coup de grâce.
" Merde, merde, merde!"
Quiconque se plaît dans cette situation est clairement un psychopathe et je déteste devoir achever ceux qui étaient autrefois des être humains en pleine forme. Je retourne malgré tout vers l'unité pour saluer rapidement le vieux d'Essex comme prévu ainsi que deux jeunes personnes qui semblent l'accompagner dont un muet visiblement et avec une bonne partie du visage brûlé. Lorsque Dosantos me demande de continuer ce que je faisais, j'hoche la tête et fais signe à la jeune femme de me suivre après qu'elle ait récupéré une arme plus silencieuse qu'un pistolet.
C'est un peu gênant de voir de nouvelles personnes quand on porte une blouse de docteur tâchée de sang frais et une crowbar dans la main en plus de sa trousse médicale mais je fais des efforts pour me montrer souriant et la mène vers le coin du convoi qui je pense n'a pas été encore inspecté.
- Ça va? Tu tiens le coup? Mon nom c'est Keith Andrew mais tu peux m'appeler Doc.
Je me penche régulière pour chercher le pouls à la gorge des corps mais continue cependant de faire la discussion tout en cherchant une raison de ne pas piquer une Jeep pour me casser maintenant de la pseudo-protection de l'armée. Blasé de m'occuper plus de cadavres que de vivants.
- Tu viens d'Essex alors? Des liens avec Mr. Murphy?
Je suis en train de note et de faire le point lorsque Charlie me tend un papier. Panthère. Je ne peux m’empêcher d’avoir un rictus amusé. Le message par contre me fait grincer des dents. Une charge explosive même minimum à la base du crane signifie que ils ont été « préparé » puis lâché sur ce convoi. Et Charlie confirme en indiquant qu’il a trouvé des traces d’un groupe ayant attendu sous le couvert des bois. Donc ce truc a été pris en embuscade. C’est un nettoyage en règle. Je tends le mot de Charlie à Don John.
- « Pas la peine Charlie. Mais merci de proposer. A mon avis, ils ont dut prendre un véhicule une fois leur méfait accomplit. Et à mon avis le véhicule était un peu plus loin. Je ne remets pas tes compétences en cause mais à mon avis la piste va être froide maintenant. »
Donc on est sur les restes d’une embuscade. A mon avis, il n’y a plus rien ici. Les membres du commando qui ont attaqué le convoi on probablement prit ce qu’il voulait. Et je suis incapable de savoir ce que c’est. Puisque je ne connais pas le contenu. Tout ce que je sais c’est que c’est un convoi de ravitaillement. Donc il devait y avoir dans l’ensemble des camions qi comportait autre choses que des armes, de la nourriture, des médicaments, et autres éléments médicaux, … Ca par contre ça ne me plait pas. Ou le capitaine Paccard n’était pas lui-même au courant ou il ne me l’a pas dit. Je n’aime pas l’idée qu’il soit au courant et qu’il ne m’en ait rien dit. Il aurait dut se douter que je fouinerais. Ou alors il a prévenu le médico puisqu’il était dans son bureau avant que je n’arrive. Je soupire, n’ayant pas la moindre réponse à mes interrogations. Par contre il faudra que j’ai une discussion avec le capitaine parce que ça ne me plais pas. De toute façon, il devrait lui faire un rapport. Je suis tirée de mes réflexions par el gros médico qui s’excite avec sa crowbar sur un marin qui revint à d’entre les morts. Je m’avance vers lui mon P226 à la main et m’apprête à terminer le travail. Mais il y arrive tout seul comme un grand. Je vais rengainer mon arme quand j’entends Ryley gueuler après moi. Un survivant… ? J’attrape le medico par le col.
- « Gringo arrête tout on a besoin peut être besoin de toi Tu me suis et me colle au basque. Don Charlie Sarah. Vous êtes libre de faire ce qui vous chante mais à mon avis ne trainer pas trop longtemps. »
J’approche du camion de commandement ou se trouve le survivant. Mais avant je m’empare d’un lacet de chaussure sur un des cadavres. Une fois sur place, je plaque le médecin dos contre le camion afin qu’il puisse voir partout mais en même temps être protéger dans le dos. Donovan et Ryley ont nettoyé les abords du camion donc il ne risque rien mais au moins il est protéger de dos. Je ne sais pas qui est ce mec ni ce qu’il fait là. Alors sans ménagement, une fois qu’il est descendu du camion je lui colle un coup de pied dans l’arrière du genou pour le mettre au sol et le force à mettre les mains sur la tête. Avec le lacet, je les lui lie fermement derrière le dos. Pour le rendre inoffensif. Ensuite je le désarme et le laisse à genou au sol. Attendant qu’il réponde à la demande de Donovan. Je rengaine mon pistolet. De toute façon les deux autres le tiennent en joue.
- « Reponds Gringo. Qui es-tu ? Qu’est-ce que tu fais là ? Que s’est-il passé ici ? »
Je garde toutefois el gros medico cretinos a portée tout en le gardant quand même a distance. S’il est blessé pas question qu’il reçoive des soins tant qu’il n’aura pas répondu.
[INTERVENTION MJ Suite a l'absence de Sansom et de Keith]
La panique et les sombres événements qui ont eut lieux dans les dernière heure on mit Sansom dans un état tel que le calme de sa nouvelle planque l'a tout simplement fait sombré dans une inconscience certaines. Une sorte d'auto défense de son mental face a l'absurde et a l'atrocité qu'il vient de vivre.
Si Donovan et Ryley on pu constater qu'il était vivant c'est tout simplement parce que sa respiration était normal et qu'il n'avait aucune trace de morsure apparente. De plus le fait qu'il dorme est juste un état de la vie que les zombies n'ont plus. Mais Son état de stress et sa panique l'on plongé dans un sommeil tel qu'il est dans un sommeil comateux, identique a celui d'un ivrogne ayant trop bu qui aurait sombré dans les bras de Morphée ivre mort.
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Sujet: Re: [TERMINE] [Event 2] Z's catch seamen - 26 octobre (Groupe 2) Mer 5 Sep - 8:25
Je cherche des indices dans le sous-bois après avoir donné mon rapport à la Jaguar. Je sens que mon alter-ego, Le Chasseur, aimerait bien la pister pour ensuite s’amuser avec. Pour ma part je suis réellement mitigé par Alicia. Elle est coriace, superbe et je sais qu’elle peut m’aider si les emmerdes arrivent. Mais elle semble ne pas trop m’apprécier, juste m’utiliser dans un sens pour mes talents de traquer et d’observateur. L’humain, la part de mon esprit qui est doux et gentil, préfère quant à lui des femmes tranquilles et souriantes. Un peu comme Sarah qui est présentement sur les lieux de ce carnage et Leïa. Mais je me dois de m’enlever toutes ces idées d’avoir une femme qui va m’aimer. Avec la tronche de déterré que j’ai, le corps qui ressemble à une bougie à demi consumé, mon mutisme et mes idioties les femmes ne voudront jamais de moi. Enfin bref je continue à suivre des traces au sol. La distance entre les pas me rappelle la démarche de Papy. Le pas cadencé des gens qui ont fait l’armée. Aussi le style de bottes, les semelles et tout ça. Ce n’est pas des bottes ou des chaussures qu’on peut acheter dans n’importe quel magasin. Et je remarque aussi, malgré que toutes les traces se chevauchent à cause de l’escarmouche, que les personnes cachés dans le bois semblent avoir été vérifié que les véhicules de tête ou bien ceux qui semblent être associer à des officiers. Comme si les assaillants, ceux qui avaient monté toute l’opération et sûrement placé des bombes dans la tête des charognards, savaient exactement où chercher et surtout foutu le bordel dans chaque véhicule. Tiens pourquoi je ne farfouille pas dans cette jeep pour le besoin de la cause? Rapidement je regarde et il y a de la paperasse et des crayons dans un porte-document entreouvert. Je les prends au pire ça pourrait m’être utile pour communiquer.
Près de moi des cadavres de soldats commencent à remuer. Merde de Hell! Il va avoir dix ou douze coureurs dans pas long et je ne peux pas tous les avoir. Du coin de l’œil je vois mon grand-père qui semble s’énerver. Donc ça va encore de son côté. Si Papy commence à utiliser des gros mots et tremble de rage, alors les emmerdes ne sont pas loin. J’attire son attention et lui montre un soldat qui tressaute sous l’effet de la réanimation de son corps et sa future transformation en charognard. Ni une ni deux je le poignarde et je cours vers le groupe. Les champs d’épis de maïs commencent à bouger légèrement. Hors il n’y a pas de vent. Je laisse mon regard d’azur inquisiteur se promener et je focalise sur un zombie qui s’approche. Un autre et un troisième. Merde de hell un gros groupe commence à approcher. Je signe le mot danger à mon grand-père et lui indique la nouvelle menace. On doit avoir à tout casser quelques minutes avant que les coureurs se relèvent et que les charognards arrivent au contact.
L’esprit analytique et surtout tactique du briscard d’un autre âge fonctionnait à mille à l’heure pour essayer de découvrir le pourquoi de cette attaque. Selon le gamin des charges explosives à la base du crâne avait mis hors d’état de nuire les infectés qui avaient assaillis le convoi. Des traces d’attentes dans le sous-bois. Un type exécuté par une décharge de fusil de chasse. Grognant doucement de rage et de fureur contre la situation et surtout contre lui-même, le vétéran semblait être d’une nullité alarmante dans la situation présente, le vieil homme ramassa un sac à dos pour le lancer dans le camion de récupération. Les deux bidasses annonçaient alors avoir trouvé un survivant et aussitôt l’hispanique alla dans la direction des soldats. L’irlandais têtu aurait pu se rendre sur les lieux, mais voyant le docteur joufflu balancer son bide dans tous les sens en courant pour aller vérifier l’état du rescapé, il songea qu’il devrait continuer à surveiller le périmètre. Gamine, Gamin on reste en alerte. Ça pue toute cette putain d’histoire autant qu’une pute Viet Gong qui vient de s’envoyer une section de G.I. Je n’ai pas envie que mon vieux cul ratatiné soit enculé à sec par un attaque surprise.
L’ancien sergent était revenu à ses vieilles amours, le commandement en terrain hostile et surtout tout faire pour ramener la jeunesse doré en sécurité. Le petit-fils de l’homme condamné par la maladie explorait les alentours, surveillant le moindre signe de danger et surtout collectant les indices éparpillé au quatre vent. Marchant d’un pas sûr et d’une démarche droite trahissant le passé militaire à plein nez, le décoré du Congrès ramassa encore quelques objets en bons état pour les citoyens d’Essex. Chaque arme, chaque flacon de médicaments et chaque ration sera utilisé à bon escient par la communauté discipliné. Mais le gamin du vieil homme produisit un claquement sonore avec le pouce et l’index qui fit tirer l’oreille à l’ancien militaire. Pivotant la tête vers le muet, le regard d’acier bleuté compris à l’instant le danger. Les braves soldats qui s’étaient vaillamment s’apprêtaient à se relever pour entamer le second round, mais dans le camp opposé de leur allégeance. Tirant dans la tête d’une militaire qui ressemblait à un bacon qui sautait joyeusement dans un poêlon de fonte, le sergent d’un temps révolu prit les rênes de son petit groupe.
CONTACT! Ce simple mot poussé par la voix autoritaire et intimidante du béret vert mit sur la défensive et en alerte la grande majorité des personnes ayant une expérience militaire. Donc 99% des gens encore debout. De nouveau le chasseur au corps carbonisé indiqua un danger en progression. Le champ de maïs à proximité commençait à laisser sortir des ombres chancelantes et trébuchantes. On est loin des fantômes du navet de Kevin Costner de mon cul. Grognant le vétéran alors qu’il distribua ses ordres à son équipe à proximité. GAMINE TU CONDUIS LE CAMION. CHARLIE TU LUI SURVEILLE SON SIX HEURE COMME SI C’ÉTAIT LE MIEN. Marchant rapidement vers l’hispanique et les envoyés du camp de Jéricho, John avait le visage fermer par la détermination et les lèvres exsangues tremblante de rage à peine contenu. BELLA IL Y A DES PUTAINS DE COUREURS QUI SE LÈVENT ET DES NOM DE DIEU D’INFECTÉS QUI SE RAMÈNENT PLEIN NORD! PARTEZ ET JE VAIS LES ATTIRER LOIN DE NOS GROUPES AVEC MON PICK-UP! Sans attendre plus le vétéran qui avait tout vu et tout endurer dans sa saloperie de vie rejoignit sa vieille camionnette. Déjà le véhicule militaire emmena de l’équipement pour la communauté d’Essex démarra et emprunta la route pour rejoindre la sécurité des murs fortifiés. Dès que les autres véhicules furent évacuer de la zone, John attendit que la meute d’infectés agrémenter de sprinters portant la livrée de la marine des États-Unis soit presque au contact et il appuya sur l’accélérateur. Alluma la vieille radio de la Ford, laissant Johnny Cash chanter Ring of Fire, le vieil homme furieux emmena les putrides faires une promenade de santé. Il allait les perdre très loin et ensuite revenir au bercail pour une bonne bière. John ne va pas l’avoir volé son petit plaisir.
Le membre 'John Murphy' a effectué l'action suivante : Lancer de dés 'Dé 100' : 16
Choix de récompense:
Rations militaires x3 + Café x2 + Alcool (bouteille pleine) + Paquet de cigarette + Essence x2 + Trousse premiers soins [prérequis 1er soin > 20 pour la trousse et 1 véhicule pour l'essence - possibilité d'abandon de l'un ou l'autre]
Note pour Kali:
John ayant déjà choisi sa récompense, je crois que l’ancien soldat a assez de tripes et d’intelligence pour prendre ce qu’il peut pendant que les gens explorent les environs. Ce n’est pas pour lui, mais pour la communauté d’Essex
Inconscient. Je l’ai sortis sans ménagement désarmé attache et mis à genoux, mais il s’écrase de tout son long par terre sans la moindre conscience. Je regarde furieuse le gros medico. Qu’il fasse quelque chose la ça m’énerve. S’il est en train de crever, je lui colle une balle et on en parle plus. Mais là y a de l’abus. J’ai quand même l’impression d’un sale traquenard. Avec tous les indices que Charlie, Sarah, John et moi avons trouvés Ce convois est tombé dans une embuscade. Pourquoi ? ? Par qui ? Je ne sais pas et je n’ai vraiment pas envie de le savoir ce n’est pas à moi que l’enquête a été confiée. Et de toute façon je m’en fous. Je ne suis plus flic on me l’a assez fait comprendre. De plus j’ai comme la désagréable sensation que de n’envoyer qu’une équipe de trois avec un toubib sur les lieux d’une attaque de convois ou il y a autant de militaire est juste une façon de se débarrasser de nous. Car si on était arrivé un peu plus tôt on serait surement tombé lors de l’embuscade en elle-même et on aurait été dans le lot des morts, voir des futurs hijos de la muerté.
Je m’éloigne de ce poids casse pied qu’est ce militaire inconscient. Il faut que je réfléchisse. Plus j’y pense plus je suis mal à l’aise avec le fait de retournée à Jéricho. Quelque chose ne colle pas. Ou le capitaine Paccard ne savait vraiment rien de la situation. Sauf qu’on avait un fourgon à récupérer, et que l’assaut avait probablement été terminé, mais pour cela il aurait fallu qu’il soit prévenu au début de l’attaque et qu’il nous envoie après pour vérifier. Ce qui est possible. Il a peut-être attendu une potentielle réponse pour dire que le convoi repartait. Et dans ce cas nous étions des éclaireurs. Ou il était parfaitement au courant de l’attaque du fourgon et nous y a envoyé sur place pour le renseigner sur l’assaut afin qu’on récupère ensuite le fourgon. Ou dernière hypothèse, mais j’en doute quand même, il cherchait à se débarrasser de nous. Mais celle-ci est assez stupide. Après je ne m’étonne plus de rien avec les Gringos.
Un cri me sort de ma réflexion. Un cri typiquement militaire le genre qui annonce le début de la mierda. J’empoigne mes flingues quand Don vient me trouver en gueulant. J’ai presque envie de sourire et lui crier que je ne suis pas sourde. Mais je sais pourquoi il fait ça. il donne es ordre et ses directives pour qu’on agisse vite et bien et il a raison. Le groupe d’Essex a vite fait de se mettre en Branle. Sarah prenant un camion avec elle Charlie à sa suite. Quant au vétéran, il prend la direction des chants avec son pick up la musique à fond j’ai compris ce qu’il fait il nous file un peu de temps. J’abats un des militaires qui se réveille en grondant sinistrement les yeux révulsé et rouge. Je rejoins donc les deux membres de l’équipe wolfpack et le médico.
- Donovan tu prends le volant du fourgon. Ryley tu prends un autre des camion hsitoire de ramener un max de matos au camp. Medico à l’arrière de l’un d’entre eux avec celui-ci. Vous avez sa garde et surtout sa vie entre les mains.
J’attrape un fusil d’assaut qui traine dans le camion. Je le vérifie place un chargeur et l’arme avant de le mettre dans les mains du medico. Puis je hisse l’officier marin dans le camion a l’arrière. Je vérifie qu’il est bien attaché. Puis je descends du camion. Et m’adresse à Keith.
- « Prenez cette arme ça vous sera plus utile que votre crowbar. Maintenant, écoutez-moi bien médico. Je ne rentre pas à Jéricho avec vous. Ce bordel c’est clairement une embuscade. J’ignore si les officier de Jéricho étaient au courant ou pas. Mais vous l’avez vu les militaires sont mort il y a peu puisqu’ils reviennent seulement a eu maintenant. Quant aux hijos de la muerté qui ont attaqué Sarah a indiqué qu’ils étaient frais. Et Charlie qu’ils ont été tué d’une explosion intracrânienne. C’est clairement une attaque prévue. Et au vu des tensions au sein du camp je préfère me tirer et m’installer a Essex avec Don si le capitaine Paccard veut mon rapport il n’a qu’à venir m’y retrouver. Bonne chance médico. »
Je cours vers une jeep et commence a le démarrer puis je file à la suite du camion pris par Sarah et Charlie. Direction Essex pour une nouvel installation.